L’envol du flamant rose, de Jérôme Idelon est l’histoire folle et tragique de Théo et de sa maman bipolaire. C’est une histoire émouvante, tendre, drôle et tragique à la fois. Elle nous emmène dans un monde où le surréalisme flirte avec la réalité sans que cela nous fasse lever les yeux au ciel une seule fois. On serre les dents, on expire de soulagement et on pleure parce qu’inévitablement, on connaît le dénouement.
Devant le regard innocent et amoureux de son fils, Rose plonge petit à petit dans la folie qui la dévore. Pour supporter la maladie de sa mère, Théo, dix ans, se protège en composant avec les maux de Rose. Il va alors l’accompagner dans ses phases de démence, embrasser son extravagance et suivre chacune de ses danses. Il déploiera des trésors d’inventivité, d’humour et de tendresse pour aider sa mère à contenir sa folie.
L’envol du flamant rose est publié aux éditions Ex Æquo
Martine
dit :Couverture racoleuse, 4ème de couv racoleuse, préface idem… Le lecteur est prévenu : on va l’abreuver de bons sentiments, l’émouvoir, lui retourner le cœur… Ça va pleurer dans les chaumières ! Tout ça pour un roman de gare médiocre et prétentieux qui m’est tombé des mains.
Adele
dit :Un livre que l’on lit à travers les yeux de Théo 10 ans. le résultat est poétique, tendre mais aussi amusant. On se plonge rapidement et avec plaisir dans cette histoire qui fait autant sourire que verser une larme (ou deux).
Je recommande à 100%!
Marie-Séverine DUBREUIL
dit :La folie décrite par des mots d’enfants : l’intention de l’auteur est louable. On se laisse donc prendre par l’histoire de cet enfant qui essaie de protéger sa mère bipolaire. Malgré le sujet, le propos se veut léger.
En revanche, un excès de bons sentiments et une langue qu’on a du mal à imaginer dans la bouche d’un enfant de 10 ans laissent le lecteur perplexe.
Alexandra
dit :Une magnifique histoire, émouvante au travers de Théo, protégeant sa maman.
Un livre rempli de poésie et de douceur.
On se laisse rapidement emporter par cette histoire
Jade
dit :Un roman à lire, à relire et à offrir. Il est de ces romans que l’on déguste, page après page, en savourant les délicieux cocktails de mots qui jouent à cache cache entre les lignes.
On goûte à la folie, à des recettes dingues et à une sensibilité à vif. On pleure, on rit, on compatit. On se laisse surprendre à se nouer aux personnages, à ressentir à travers nous leurs émotions. Là est tout le travail de chef de Jérôme, qui cuisine les mots et les revisite à la perfection.
Volica
dit :Un roman qui raconte avec légèreté une maladie qui ne l’est pas du tout : la bipolarité.
J’ai ri et j’ai pleuré en même temps. Certaines pages sont un véritable concentré d’émotions. Un vraie et belle surprise.
Felink91
dit :J’ai adoré cette histoire de petit garçon qui a une maman différente et qui a la chance de rencontrer un presque papa qui les aime et veut du bien à Theo et sa maman.
La lecture est rapide, rythmée et pleine d’expressions ou les mots sont des images qui ont fait renaître l’enfant qui est en moi.
Isabelle
dit :Une histoire tendre et poétique de la fuite en avant d’une mère et de son petit garçon. C’est lui, Théo qui raconte. Son regard est amoureux, protecteur vis à vis de sa mère différente. Son récit est rythmé par ses découvertes. Il fait de belles rencontres qui le sauvent. L’écriture de ce texte est fraîche et tonique. Je recommande vivement sa lecture, qui pour moi a été un réel plaisir et une belle découverte.
Bruno
dit :Je me suis lancé dans ce bouquin sans attente particulière mais quelle claque !
J’y ai retrouvé du Musso et du Boris Vian… mais avec une fraicheur et une simplicité qui fait du bien. Pas besoin de démêler des intrigues compliquées pour commencer à se faire plaisir, se retrouver les larmes aux yeux ou à rire aux éclats.
L’auteur joue avec les mots et les émotions pour nous faire découvrir une histoire touchante, à la fois sombre et lumineuse, quel bonheur!
Ouvrage poétique, astucieux et brillant, je recommande vivement.
Damien
dit :Ce joli roman est un coup de coeur.
Un sujet grave et triste traité avec finesse et bienveillance. Contrairement au sujet de fond, le livre est joyeux, plein de tendresse et d’humour. L’auteur joue avec les mots et les expressions de la langue française à la perfection à travers les yeux et ressentis du petit Théo qui affronte la dureté du monde des adultes et la maladie de sa maman entre réalité et monde imaginaire. Vous rirez souvent, sourirez beaucoup et pleurerez peut-être parfois à travers ces pages.
Un roman original qui se lit facilement et avec plaisir.
Maud
dit :Dévoré en un week-end… mais savouré page après page !
Qu’il est doux de se laisser envahir par l’émotion !
Un immense bravo à Jérôme que j’ai eu plaisir à lire après l’avoir connu dans son monde digital précédent.
Une écriture fine et puissante à la fois.
J’aime et je partage !
Corinne
dit :Le flamand rose… Tout un symbole. Théo nous raconte avec ses mots d’enfant, l’amour pur et inconditionnel qui le lie à sa mère, atteinte de bipolarité et dont il n’envisage pas d’être séparé. Cette histoire, émouvante, touchante, parfois drôle et légère ne m’a pas laissé insensible. L’histoire est rythmée et on a juste envie, comme Théo, que Rose s’en sorte et reste à jamais cette mère aimante et fantaisiste… Mais la maladie est inéluctable.
Je recommande vivement !
Edith Sene
dit :Pas mal, même si l’éditrice et la 4ème de couverture nous préparent beaucoup trop à l’émotion.
Remarque : pourquoi cette scène de sexe infligée à Théo par son amant au début ?
Un gamin de 10 ans ne ferait pas tous ces contresens qui se veulent amusants dans les expressions de la langue française.
Bien pour un 1er roman quand même.
Guillemette Galland
dit :Bof… Je n’ai pas du tout accroché à ce livre peu crédible dans la langue et la réflexion à mon goût. C’est souvent hasardeux de donner la parole à un enfant, je trouve que, ici, le pari n’est pas réussi.
Dommage parce que le sujet, même si déjà souvent traité, de la vie d’un enfant avec une mère « folle » aurait pu être intéressant…