Adam Fier travaille avec son père, brillant homme d’affaires et esthète au tempérament volcanique, qui a créé une marque de meubles de luxe. À quarante ans, pourtant, il traverse une crise existentielle et ressent le besoin d’enquêter sur la mort de son grand-père, Georges, dont l’assassinat à Alger en 1957 demeure un mystère. Quels secrets découvrira Adam en fouillant dans les photos, les documents d’archives, dans la mémoire douloureuse de la guerre d’Algérie ?
Un jour, il n’y aura plus de pères raconte le cheminement d’un homme qui se plonge dans son passé avec cette question qui le hante : quels souvenirs léguera-t-il à son fils ? Dans ce premier roman, David Frèche interroge les ombres de l’Histoire et les silences et non-dits qui se transmettent de génération en génération.
Un jour il n’y aura plus de pères est publié aux éditions du Rocher
Marie-Séverine Dubreuil
dit :Ce roman commence par la description d’une relation difficile entre un père et son fils. Pour essayer d’en comprendre la cause, ce dernier part à la recherche des circonstances du décès de son grand-père, assassiné à Alger en 1957. En disséquant les rapports de sa famille juive avec la France, en reconstituant le drame de l’exil au moment de la guerre d’Algérie, l’auteur apporte au lecteur un regard personnel et sensible sur cette période de l’histoire encore méconnue.
Marianne
dit :Un premier roman qui aborde la relation père fils mais aussi la compréhension de son héritage culturel. Le personnage principal part dans une quête pour lever les tabous et secrets de sa famille.
Un roman entre l’Algérie, St Tropez et Paris et Londres qui aborde avec justesse la construction psychologique du narrateur et de son père.
j’ai bien apprécié ce roman qui se lit bien et qui donne un point de vue juste de la relation entre un fils et son père.
je l’ai déjà recommandé à des personnes de mon entourage.